Ebooks

80 % des ouvrages américains publiés entre 1923 et 1964 ont désormais intégré le domaine public. Ou presque.

Le gouvernement communiste chinois suspend l’utilisation des trois applications mobiles pour ebooks, Minus Novels, Tomato Novel et Jinjiang Literature City, invoquant le partage de contenus « susceptibles de porter atteintes aux bonnes moeurs ».

À partir du 1er août prochain, les bibliothèques américaines ne pourront plus conserver les livres audio de l’éditeur américain Simon & Schuster à perpétuité dans leurs fonds.

Alors que le principal distributeur et vendeur d’ebooks du pays, LitRes, a annoncé vouloir lancer la vente de livres numériques au chapitre, les éditeurs russes s’interrogent sur l’adoption globale d’un tel système, qui pourrait notamment prévenir le piratage et la diffusion illégale de leurs titres.

Hachette Book Group a annoncé, cette semaine, le changement de son système de licence de prêts d’ebooks en bibliothèques. Avec déploiement dès le 1er juillet prochain.

Google va distribuer directement les livres sur sa boutique en ligne, Google Play.

La compagnie News Corp, basée à New York et qui possède HarperCollins, a publié le 7 mai les chiffres du groupe d’édition pour ce premier trimestre (l’analyse s’arrêtant le 31 mars dernier), indiquant une hausse de la profitabilité de 29 %.

Le retrait progressif d’Amazon sur le marché chinois ne devrait pas impacter les clients Amazon Kindle qui auront toujours la possibilité d’acheter une liseuse et son catalogue de contenus.

La nouvelle étude publiée par Booknet Canada se penche sur les habitudes de lecture des Canadiens et comment celles-ci ont évolué en ce début 2019.

The Association of American Publishers (association des éditeurs américains) a enregistré sur les mois de janvier et février 2019 une hausse de 7,2 % des ventes de livres sur le territoire par rapport à la même période en 2018.